Au travers d'un montage réaliser sans doute au scotch après que le gamin du monteur ait coupé la pellicule pour s'amuser, seule explication convenable à cet enchaînement de micro-scènes , on nous parle d'amour. Mais pas n'importe quel amour.
Celui qui transite à travers les réincarnations. Ouais, voilà. On se perd entre deux villes et deux époques pour arriver à cette conclusion abracadabrantesque.
Et putain, c'est quoi cette manie issue d'une mauvaise télé-réalité de sous-titrer les québécois ?
Enfin, on voit une Citroën DS dans le film, ça vaut pour la moitié de ma note..
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