Blanc comme neige.
Après une poignée d'oeuvres plus confidentielles, Atom Egoyan revient à un cinéma plus accessible, plus grand public, avec The Captive, présenté au festival de Cannes en 2014. S'articulant autour...
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le 11 févr. 2016
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Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Je n'ai trouvé aucun lien avec Prisonners, mise à part l'obstination du père dans sa recherche de l'enfant disparue.
J'ai trouvé Captives plutôt atypique malgré le sujet souvent traité au cinéma, même si je ne saurais dire pourquoi. L'enquête n'est pas au coeur de l'intrigue, le désespoir des parents non plus, et encore moins celui de l'otage.
Je me demande encore quelle histoire a voulu nous raconter le réalisateur (quoi?). Je me demande aussi encore qui est le personnage principal (qui?). Je me demande aussi pourquoi avoir déconstruit la chronologie de l'histoire (quand?).
Deux options :
- c'est juste un parti pris narratif: auquel cas, aucun interêt si ce n'est donner un peu de relief à un récit qui aurait été trop plat sans cela; mais cela aura juste réussi à embrouiller le spectateur.
- ou la clé du film, est justement bien cachée là, dans ce puzzle temporel, et on la cherche encore. Et c'est fort, non?
Créée
le 18 avr. 2017
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