Blanc comme neige.
Après une poignée d'oeuvres plus confidentielles, Atom Egoyan revient à un cinéma plus accessible, plus grand public, avec The Captive, présenté au festival de Cannes en 2014. S'articulant autour...
Par
le 11 févr. 2016
21 j'aime
Créée
le 23 févr. 2015
Critique lue 70 fois
D'autres avis sur Captives
Après une poignée d'oeuvres plus confidentielles, Atom Egoyan revient à un cinéma plus accessible, plus grand public, avec The Captive, présenté au festival de Cannes en 2014. S'articulant autour...
Par
le 11 févr. 2016
21 j'aime
Je ne comprendrai jamais le public cannois. Comment un tel film a-t’il pu être hué, jugé indigne de ses pairs ? Cette fable cauchemardesque m’a envoûtée puis paralysée. Telle un Prisoners conceptuel,...
le 8 sept. 2014
19 j'aime
Un film dérangeant autant par la forme que par le fond, un sujet traité de manière inhabituelle et glaçante . Un enlèvement d’enfant est toujours atroce, ici on a une victime captive mais qui semble...
Par
le 3 déc. 2014
11 j'aime
Du même critique
Le jeu de tous les acteurs est fameux ; bien ficelé !
Par
le 23 févr. 2015
Exaltant,beaucoup de longueur ce qui rend un climat pesant ...
Par
le 23 févr. 2015
Femme capricieuse l'épatante Émie psychopathe dangereuse même.Malgré les soupçons après son retour,s'en tire bien,et le malheur continu pour son compagnon...
Par
le 23 févr. 2015