Les clichés ne perdent malheureusement pas de leur poids, et le pire... réalisé par un arabe en quête d'adoubement, en utilisant une N-ième fois le même sujet, l’immigration et ses conflits intérieurs, et encore une fois, la femme oppressée par l'homme. Si l’intrigue est plus famélique qu’un bourguignon végétarien, c’est surtout à cause de la déconnexion totale de la réalité, un NAVET basé sur une exception qui hélas existe encore dans certains pays. c’est passionnant comme un livre de coloriage quand on n’a pas de crayons de couleur. Enfin, concernant le casting, la BA a suffit de comprendre: Joué n’importe comment par des acteurs à la ramasse. La palme revenant à la pintade gloussante de service, j'ai nommé : Smaîn.