CHEVAL DE MAÎTRE
Spielberg aimerait que L'Amérique ressemble à son oeuvre. Une économie solide de type libérale s'appuyant sur un socle populaire où le bon/mauvais goût ne se discute pas mais où le peuple contribue...
le 22 mars 2018
40 j'aime
20
Créée
le 1 avr. 2012
Critique lue 434 fois
9 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Cheval de guerre
Spielberg aimerait que L'Amérique ressemble à son oeuvre. Une économie solide de type libérale s'appuyant sur un socle populaire où le bon/mauvais goût ne se discute pas mais où le peuple contribue...
le 22 mars 2018
40 j'aime
20
Quand, dans les années 80, le gars Steven faisait des films qu'il pensait pour jeunes adultes, ces derniers parlaient directement à l'imaginaire des ados. Le problème, c'est que ce décalage subsiste:...
Par
le 4 juil. 2012
34 j'aime
4
C'est avec un immense bonheur que le jeune Albert s'occupe de Joey, le cheval que son père lui a acheté à prix d'or, alors que sa famille doit faire face à d'importantes dettes. Pourtant, alors que...
le 19 avr. 2015
23 j'aime
5
Du même critique
En 1963 le cinéma populaire américain se découvre une deuxième jeunesse grâce aux talents conjugués de grands noms du 7ème art. "La grande évasion" est, à mes yeux un film coup de poing. C'est à dire...
Par
le 9 févr. 2012
16 j'aime
10
Citer Gogol Bordello en titre de cette critique n'est pas anodin, en effet, quoi de plus justifié que de rendre hommage au fabuleux groupe d'Eugene Hütz tant ce film est gypsy punk. Commençons donc...
Par
le 27 juin 2011
13 j'aime
4
Nous sommes en 1959 quand ce remake américain des sept samouraïs de tonton Kurosawa est tourné. Derrière la caméra, ni plus ni moins que le doué John Sturges qui se trouvait être à l'époque connu...
Par
le 7 avr. 2011
12 j'aime
2