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CHEVAL DE MAÎTRE
Spielberg aimerait que L'Amérique ressemble à son oeuvre. Une économie solide de type libérale s'appuyant sur un socle populaire où le bon/mauvais goût ne se discute pas mais où le peuple contribue...
le 22 mars 2018
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Cheval dire à ma mère.
J'aurais du arrêter le visionnage à la fin de la première scène. A quoi s'attendre quand on survole une campagne anglaise de carte postale sur fond de musique bêbête ? On se serait presque cru dans la Comtée du Seigneur Des Anneaux.
Cheval de guerre, c'est un peu comme s'infliger deux heures vingts d'images de la première guerre mondiale retouchées avec photoshop, trop lisses, trop lumineuses, avec ce qu'il faut de filtres affreux. En bon propagandaire, Spielbeurk se permet évidemment de rappeler au gentil prolo qu'il doit aller se faire massacrer pour l'amour de se patrie et la gloire de mon cul.
Tout semble tellement faux que la boucherie des tranchées ne m'aura même pas soulevé la moindre émotion. Il est où Bardamu dans tout ça bordel ?
J'ose quand même mettre deux points, la scène du cheval coincé dans les barbelés en plein milieu du no man's land m'aura quand même fait drôlement rigoler.
Malgré cela, on reste face à un bol, une marmite, que dis-je, un chaudron de soupe hollywoodienne nauséabonde aux doux relents d'héroïsme.
Imbuvable.
Cheval de guerre, c'est un peu comme s'infliger deux heures vingts d'images de la première guerre mondiale retouchées avec photoshop, trop lisses, trop lumineuses, avec ce qu'il faut de filtres affreux. En bon propagandaire, Spielbeurk se permet évidemment de rappeler au gentil prolo qu'il doit aller se faire massacrer pour l'amour de se patrie et la gloire de mon cul.
Tout semble tellement faux que la boucherie des tranchées ne m'aura même pas soulevé la moindre émotion. Il est où Bardamu dans tout ça bordel ?
J'ose quand même mettre deux points, la scène du cheval coincé dans les barbelés en plein milieu du no man's land m'aura quand même fait drôlement rigoler.
Malgré cela, on reste face à un bol, une marmite, que dis-je, un chaudron de soupe hollywoodienne nauséabonde aux doux relents d'héroïsme.
Imbuvable.
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le 7 juil. 2012
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