Chronique d’une liaison passagère par sebcrzt

Un énième avatar de ce cinéma bourgeois français chiant comme l’herpès, qu’on nous sert à coup de louches de plus en plus volumineuses depuis quelques décennies. Donc, apparts somptueux au coeur de...

Sous l’égide de Woody Allen (notamment par le fait que le caractère extravagant du personnage incarné par Sandrine Kiberlain n'est pas sans rappeler celui joué par Diane Keaton dans Annie Hall !),...

Il aura fallu qu'Emmanuel Mouret s'émancipe de Rohmer, sans bien heureusement l'éclipser totalement, pour donner à son cinéma un nouveau souffle, une profondeur, cette forme de gravité sous la...

Le film se situe dans une zone entre le Barbie de Greta Gerwig et le Nymphoniacs de Lars Von Trier, avec visuellement bcp du JP Jeunet époque La Cité des Enfants Perdus.#film_in_vector_space

Les 400 coups version white trash. Du grand cinéma réaliste de Sean Baker. Comme avec Red Rocket, vu précédemment, une description incroyable de réalisme des déshérités, de l'Amérique abandonnée,...

Premier film d'Emmanuel Mouret que je vois. Un début qui m'a fait beaucoup douter, avec beaucoup d'attributs du film français agaçant. Et puis la réalisation fonctionne. Le dernier tiers est vraiment...