Il est bien vrai que je n'ai pas du tout accroché au 1er spectacle d'Arnaud Tasmère, du coup là (contraint et forcé) je n'y vais pas confiant du tout. Hors cette fois ci, Arnaud ne s'enferme pas dans un personnage (pas drôle donc) et parle de beaucoup de choses, passant du coq à l'âne, mais en ayant comme base lui et lui seul. Il fait des confidences sur lui, d'où le titre du spectacle, mais des confidences d'une banalité affligeante, c'est ce qui rend ça sympa
On reconnait dans l'écriture un certaine François Rollin, normal vu qu'il est co auteur (ainsi qu'Arnaud Joyet).
Les 1h45 passe bien, ce n'est pas à se tordre de rire mais le sourire est presque omniprésent. Le rythme est bon, l'absurde se mélange avec le concret, et cette fois ci le mélange est juste.