Récréation
Je me suis bien amusé ! Le scénario comporte pas mal de chouettes idées exploitant assez bien l'école. Le plus gros regret, c'est que les auteurs n'osent pas aller très loin ; en effet, après un...
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le 10 oct. 2015
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J'avoue être tombé sur la bande annonce par hasard et avoir été intrigué par Cooties, pour une seule et bonne raison je voulais voir si ce film arriverait ou non à faire aussi bien que Bienvenue à Zombieland qui est pour moi la référence en matière de comédie avec des zonzons, je pourrais aussi citer Shaun of the Dead mais pour moi les moyens sont tellement plus modeste que j'aurais du mal à le ranger avec ces deux grosses productions hollywoodiennes. Autant dire que la barre était haute, l'espoir était là , incarné par la petite frimousse d'Elijah Wood et la moustache HulkHoganesque de Rainn Wilson.
Mais non, c'est plutôt bien essayé mais non, alors pourquoi ?
Tout d'abord, ce qu'il faut savoir c'est que dans Bienvenue à Zombieland l'action à lieu plusieurs semaine après le début de l'infection, dans le cas de Cooties c'est à ce moment qu'elle débute. D'ailleurs une des bonnes idées de ce film est de nous montrer d'où elle vient ce qui est un parti pris assez rare vis à vis des origines des invasions de zombies qui sont le plus souvent inconnues.
C'est d'ailleurs l'occasion pour les réals de te dégouter à vie des nuggets à travers cette intro qui n'est pas sans rappeler celle de Charlie et la chocolaterie, avec toute les étapes de la vie d'une nuggets, en allant de la poule, puis cette mixture ignoble et enfin la bouche d'une charmante petite fille blonde avec des couettes. C'est le seul moment du film ou j'ai aimé l'originalité des plans et ou il ont eu une influence sur ce que je ressentais , en l’occurrence du dégout et de la peur.
L'autre bonne idée de ce film qui est d'ailleurs son socle narratif est de faire affronté à nos heros une horde de zombies âgés et 6 à 10 ans c'est d'ailleurs là que réside le WTF du film, les zombies gardent un certain nombre de comportements enfantins ce qui est très étrange et casse un peu le coté inhumain du zombie. C'est d'ailleurs un des choix qui va poser un problème pratique au film, en effet je soupçonne les réal d'avoir du s'auto-censuré et mettre des scènes de bastonnade assez "gentilles" il n'y qu'a un seul moment ou un des gamins se fait éclater le crane à coup d'extincteur et c'est quand même un peu ce qu'on veut voir lors d'un film de zombie sinon j'aurais regarder Spykids.
Donc bon, le truc des enfants zombies ça tient pas longtemps comme originalité narrative et on se retrouve donc avec un schéma qu'on connait, un groupe de survivant, avance en milieu hostile en essayant de pas mourir étripé par une horde de mort vivant. Du coup on se retrouve à suivre tout ces personnages évolué tout le long du film ensemble et c'est là qu'est le cœur du problème, les personnages et les dialogues :
D'abord pour ce qui est des personnage, le protagoniste principal joué par Elijah Wood est un prof remplaçant et écrivain raté qui vit chez sa mère, on retrouve le personnage du looser comme dans BAZ à une exception près , il est impossible pour nous de ressentir quoi que ce soit pour lui ni même de s'identifier à lui. Pourtant ces deux personnages se ressemblent : assez maladroit autant physiquement que socialement, en décalage complet avec son environnement etc. Et pourtant le fait que le narrateur BAZ soit ce personnage comme si l'histoire était raconté dans son journal nous permettait de savoir ce qui se passait dans sa tête et l'action le suivait presque toujours au moins dans la première moitié du film. Le problème de Cooties c'est qu'il y a bien trop de personnages , leurs enjeux ne sont pas clairs, on ne voit pas d'évolution dans leur comportement après l'infection, ce qui est dommage car c'est l'un des thèmes les plus intéressant que provoque l'apocalypse zombie, à savoir les comportement de personnes confinés et sujet à un stress intense. Du coup l'envie d'amourette de notre Frodon ne nous touche pas, alors que dans BAZ, on comprenait d'ou ça venait pourquoi il en avait envie et qui il était vraiment, à la fin du film le personnage principal reste très flou pour le spectateur, parce qu'il ont eu envie de mettre trop de choses dans ce film, trop de choses qui aurait pu être remplacé par des scène pour nous faire mieux connaitre les enjeux des personnages et développer des affectes pour eux mais non. Alors ce choix pourrait être valable malgré tout si ce film était une immense farce et que l'écriture était une succession de gags bien ficelés.
Mais que nenni ! Le plus gros problème du film c'est que 60 % du film n'est pas drôle, soit parce que l'action qui se déroule ne l'est pas soit parce que les blagues sont mal écrites, moi par exemple le gag du mec qui sait prononcé correctement quelque chose bah je trouve ça vu et revu et pas drole et plus de ça. Il y a bien un personnage qui m'a fait bien rire c'est celui incarné par Leigh Whannell qui joue le sociopathe de première et j'avoue que lui m'a bien fait rire, parfois quelque sourire avec le prof de sport mais c'est tout.
Donc le soucis de ce film c'est qu'il a voulu trop bien faire et s'est perdu en mettant trop d'éléments et de personnages, j'ai pas parlé du mec qui gère la sécurité à l'entré et qui passe le film complétement défoncé aux champignons dans son van c'est un bon exemple de 10 minutes de film gâché par un personnage inutile à l'histoire, en plus de ça le film peine à se définir un genre cette une comédie pas assez trash pour être pour adulte et trop pour être pour gamins, un film qui conviendrait aux 12-15 ans ?. Dommage ça aurait pu être bien
Créée
le 25 nov. 2015
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Quel plaisir indicible de voir des morveux se faire atomiser ! Merci
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le 13 mai 2021
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HBO se lassera t'elle jamais de nous sortir des séries qui nous empêche de dormir tant qu'on ne les a pas finis ? Je ne crois pas , en tout elle est mal partie... Enfin Bref , un jeu irréprochable de...
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le 8 nov. 2014
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Film,Film,Film... T'avais pourtant bien commencé tu sais. La mise en scène était léchée, Il y avait des idées... Tu nous ménageais avec subtilité et parcimonie, Tu avais tout d'une adaptation d'une...
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le 5 juin 2017
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