L'actualité sur Daniel Brühl - Goodbye l’éternel gentil
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2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
Le 26 nov. 2023
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a attribué 7/10 au film
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2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
Le 26 nov. 2023
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Le 20 nov. 2023
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2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
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2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
Le 27 mars 2023
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2022 • Documentaire TV de Lukás Hoffmann
Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
https://www.arte.tv/fr/videos/099623-000-A/daniel-bruehl-goodbye-l-eternel-gentil/ Dispo jusqu'au 20/05
Le 21 mars 2023
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Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
Le 3 mars 2023
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Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
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Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…
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Synopsis : Sorti en 2003, Good Bye Lenin! propulse Daniel Brühl dans la cour des grands. Son succès est tel, en Allemagne et au-delà, que le film lui colle longtemps à la peau : à l’image du héros, qui cherche par tous les moyens à dissimuler la chute du mur de Berlin à sa mère tout juste sortie du coma, l’acteur passe pour un jeune homme serviable et un peu effacé. Au départ, pourtant, rien ne le prédestinait à cette carrière d’éternel gentil. Fils d’un réalisateur pour la télévision, il se forme sur les plateaux et décroche, à 23 ans, le rôle d’un schizophrène dans un long métrage de Hans Weingartner. Sa performance, couverte d’éloges, lui vaut d’être repéré par Wolfgang Becker, qui le recrute pour incarner Alex Kerner, le fils aimant qui s’échine à recréer la RDA. Dès lors, les réalisateurs se plairont à jouer avec son image angélique, à l’instar de Manuel Huerga. Sous la direction de ce dernier, le comédien, qui a appris l’espagnol aux côtés de sa mère, interprète un anarchiste catalan dans Salvador (Puig Antich). Le film marque un tournant dans sa carrière : en 2008, Daniel Brühl est contacté par Quentin Tarantino, et Hollywood dévoile alors, avec Inglorious Basterds, son autre visage…