A travers Ji-gu, Kang Yi-kwan brosse le portrait d’une jeunesse coréenne où la courbe d’évolution des interrogations est inversement proportionnelle à celle des repères. Le cinéaste double ce portrait de celui des familles mono-parentales. L’analyse est subtile et garde sens hors Corée du sud.

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le 21 avr. 2018

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