Il est étonnant qu'au-delà de son intérêt cinéphilique, le film fonctionne encore aujourd'hui. Bien sûr c'est loin d'être parfait, la réalisation est chaotique, la postsynchronisation est ratée et la distribution masculine est catastrophique à l'exception du maire complètement hystérique. En revanche nous avons une distribution féminine très sexy avec notamment Linda Cochran, la brune sadique, Shelby Livingston, la première victime, ou Connie Mason, playmate de juin 1960) Les scènes gores sont bien amenées, à l'exception de la seconde qui est raté. La dernière partie contient sa dose de suspense et de mystère. Finalement on passe un bon moment.