Ce film est une merveille au sens philosophique du terme, entre l’amour impossible des protagonistes séparés par ce « dickshark » et la métaphore croustillante de la décadence humaine à vouloir tout posséder, ce film beigne dans une inquiétante et triste réalité de l’homme qui pourrait faire n’importe quoi pour trouver l’amour, ce qui est, d’ailleurs, l’intro du film, un homme complexé par la taille de son penis et qui, pour faire plaisir à sa femme, la badigeonne d’une lotion qui la transforme en requin.
Je vous laisse donc profiter de ce chef-d’œuvre qui possède un sens du détail profond et subtil sur la complexité du genre humain.