Critique n°204
Critique de films n°111
Situation : N'ayant vu Shinning qu'il n'y a peu de Temps, j'étais en situation pour voir cette suite que, pour être honnête, je n'ai pas vu venir.
Imagerie : La première chose qui m'a frappé, c'est la photographie de ce film qui est sombre (en opposition à Shinning d'ailleurs) mais tout de même assez chatoyante.
Les projections astrales, aussi, sont... graphiques, elles sont tournés, orchestré d'une façon vertigineuses.
La mort des Knot est très visuelle
Musique : La musique n'est pas en reste, il y a notamment un travail fait sur le battement de cœur
Les Personnages : Rose & les Knot, ces entités millénaires qui se nourrissent de shinning, qu'iels appellent la vapeur. Si le focus est mis sur plusieurs d'entre eus, la seule vraiment intéressante à mes yeux c'est Rose, la chefe de l'équipé, dont le principale trait de caractère est son arrogance, puis sa haine pour nos deux protagonistes ; et plus spécifiquement Abra avec qui elle forme une dyade némésis (Danny est plus sur son passage qu'autre chose)
Abra justement est la protagoniste de cette histoire. Possédant un shinning d'un niveau jamais vu ; Suffisamment pour surprendre est blesser Rose à de nombreuses reprises.
Danny est plus là comme un support, un guide pour Abra, c'est aussi l’occasion pour lui de trouver une raison d'exister, une conclusion.
Crû : Bon, déjà le langage, pas de retenu, pas de besoin, si Rose veut traiter Abra de pute, qu'elle le fasse ; mais c'est surtout sur les scènes que de côté crû se remarque, notamment la scène du jeune joueur de baseball...
DIvers : C'est étonnant d'avoir de électricité dans l'Overlook 35 ans après, non ?
En conclusion : J'ai préféré Docteur Sleep à Shinning à vrai dire, mais je ne suis pas sûr que cela ai un sens de le préciser car se sont des films très différents dans leurs style ; même si certaines scènes sont horrible, Docteur Sleep n'est pas un film d'horreur en soit, en tout cas moins que Shinning et est plus un fantastique.