Je suis terrifié par cette aptitude déconcertante du réalisateur à dépeindre la cruauté ordinaire.

Par contre, Seidl s'attache au docu fiction naturaliste, certes, mais je comprends que le spectateur puisse être lassé par le faible enjeu ou le faible intérêt.

Une problématique que j'estime conciliée dans Import/Export alors qu'ici c'est plutôt le côté accablant qui est recherché - plus que la trajectoire.
Andy-Capet
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le 3 nov. 2012

Modifiée

le 7 mars 2013

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Andy Capet

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