Il y aurait pu avoir un feu d’artifices, que la morale soit renversée et qu’elle renverse elle-même les personnages eux aussi enfermé-es dans des carcans dogmatiques. Même si l’on peut saluer l’accomplissement, l’esthétique magnifique est mise au second rang, de même que ce lien là si fort qui lie encore les protagonistes.
Il est bon, mais il aurait pu être excellent. Le traitement de l’homme et l’inversion de la domination est très intéressante même si elle aurait pu aller encore plus loin c’est à dire un moment où la protagoniste quitte ce rôle cloisonnée pour céder à la tentation, une scène entre attachement aux rites et dilemme mentale.