Douce nuit, sanglante nuit : L'Initiation par Cellophane

Il m’aura fallu un bout de temps pour assimiler dans ma petite tête que ce quatrième opus n’avait AUCUN lien avec les personnages des précédents films.

Qu’il n’avait même AUCUN LIEN avec l’idée de meurtrier de Noël, de père Noël ou chose comme ça.

Je sais même pas pourquoi ça s’appelle comme ça vu que ça ne se passe même pas sur une seule nuit…

Ajouté à ça un côté bavard, il m’a fallu une bonne heure pour entrer dans l’histoire qui ne semblait prétexte qu’à filmer diverses demoiselles visiblement allergiques au tissu…

Et puis, si la fin est assez tordu et modérément claire, logique ou compréhensible, parfois, il y a une ambiance, des effets un poil crade et quelque chose se dégage du film sur la fin.

Mais entre la qualité téléfilm médiocre et le manque d’intérêt offert par les deux premiers tiers, c’est pas le film de l’année…