On a volé les cheat codes de la marmotte.
Je ne m’attends pas à ça. Une boucle temporelle à la Un jour sans fin qui marche comme sur des roulettes en donnant au film sa structure répétitive et son rythme, et qui nous oblige à nous maintenir éveillés et attentifs tout du long, histoire de ne pas manquer les avancées ou les incohérences possibles, prendre aussi l’ampleur vertigineuse du morceau (procédé circulaire qui donne l’impression d’un gouffre démesuré en guise de hors-champ). Et même si certains aspects des visiteurs (ces Mimics) me semblent inutilement compliqués, on ne boude pas son plaisir. Un plaisir qui naît réellement bien plus des ressorts narratifs qui nous obligent une attention constante que de l’action ou des jolies images high-tech.
L’histoire d’amour ne prend pas trop le pas sur la ligne principale du récit, comme on peut le craindre à un moment. L’humour léger que rend possible un tel procédé narratif est bien au rendez-vous (Bill Baxton se charge de donner le ton).
Commentaire complet à lire sur La Saveur des goûts amers
——————————————————————
À retrouver sur La Saveur des goûts amers :
En rab :