Un beau morceau d'egosploitation et d'arts martiaux approximatifs passés en accéléré. C'est aussi un festival de cringe permanent dans sa "romance" hyper génante quand Shuny, daron trop parfait et torturé par la mort de sa femme, flirte avec son love interest deux fois plus jeune que lui et ânonne un texte surécrit pour son réel niveau d'anglais. Même s'il a de grosses longueurs centrales, voila du bon nanar actuel d'une sincérité et d'une absence de recul presque touchantes. Et puis punaise ces combats d'enfants !
(Ma note Nanarland 4/5)