L'actualité sur Five Year Diary

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Schlesinger

a attribué 8/10 au film

Five Year Diary

1997 • Documentaire de Anne Charlotte Robertson

Synopsis : Autoportrait monumental, gigantesque corpus d'une durée de 36 heures, divisé en 85 bobines d'une durée de 26 minutes, Five Year Diary est l'œuvre la plus importante de la cinéaste. Elle couvre deux décennies (1981-1997). Dans cette chronique de sa vie quotidienne dans le Massachusetts, Robertson documente sans détour son combat pour survivre face à la dépression. De sombres et intenses monologues intérieurs, teintés çà et là de l'humour et de l'autodérision propre à la conscience qu'avait l'artiste de sa maladie, donnent toute sa profondeur à cette expérience thérapeutique en cinéma.

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Schlesinger

a attribué 9/10 au film

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Séances obscures Vol.III

Five Year Diary

1997 • Documentaire de Anne Charlotte Robertson

Synopsis : Autoportrait monumental, gigantesque corpus d'une durée de 36 heures, divisé en 85 bobines d'une durée de 26 minutes, Five Year Diary est l'œuvre la plus importante de la cinéaste. Elle couvre deux décennies (1981-1997). Dans cette chronique de sa vie quotidienne dans le Massachusetts, Robertson documente sans détour son combat pour survivre face à la dépression. De sombres et intenses monologues intérieurs, teintés çà et là de l'humour et de l'autodérision propre à la conscience qu'avait l'artiste de sa maladie, donnent toute sa profondeur à cette expérience thérapeutique en cinéma.

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Léa_Konstantinou

a attribué 7/10 au film

Five Year Diary

1997 • Documentaire de Anne Charlotte Robertson

Synopsis : Autoportrait monumental, gigantesque corpus d'une durée de 36 heures, divisé en 85 bobines d'une durée de 26 minutes, Five Year Diary est l'œuvre la plus importante de la cinéaste. Elle couvre deux décennies (1981-1997). Dans cette chronique de sa vie quotidienne dans le Massachusetts, Robertson documente sans détour son combat pour survivre face à la dépression. De sombres et intenses monologues intérieurs, teintés çà et là de l'humour et de l'autodérision propre à la conscience qu'avait l'artiste de sa maladie, donnent toute sa profondeur à cette expérience thérapeutique en cinéma.

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