Comment me hasarder de me permettre de critiquer l'oeuvre de Gianfranco Mingozzi?

Mingozzi a été de 1954 jusqu'à son, décès l'ami, le confident, ils ont travaillé ensemble sur pas mal de scénarios -réalisés ou pas- de mon papa, l'écrivain Guillaume Chpaltine. Lui, un Parisien (le premier beatnik de Saint-Germain-de-Prés, on l'a appelé comme ça depuis la sortie de son premier roman "La Renonce", sortie en '60 chez Juillard. Après il a suivi Christian Bourgois, qui dirigeait la maison du vieux Juillard, avant d'ouvrir la sienne, lui et Agnes B. (B. comme Bourgois!), sa première femme. Qui entre parenthèse m'a beaucoup aidé à l'époque de BPM, mon magasin de disque "electro" et label, studio d'enregistrement dans la cave d'à côté, plutôt discrète (cave avec studio) pour éviter les "beatarazzi", les paparazzi House qui pollué à l'époque, et cela terminés toujours au Pause Café -illustre bar d'à-cotè- en bière et vin à profusion. La bière ça va mais le vin me rende malade grave!
(Pardon, I shall to leave now, illico, je reviendrai!)