Consentement et identité

Esthétiquement ça me rappelle quelque chose mais je ne parvient pas à me souvenir quoi, si ça me revient je mettrai à jour !

Si je l'ai bien compris, Friend of a friend nous met face à deux questions importantes actuellement, abordées ici un peu pèle-mêle, quitte à être incohérent dans le propos :

Le consentement. Une tentative de viol d'un homme sur un autre, comment réagit la victime ? Ici elle se transforme carrément en tortionnaire, et le violeur, même prisonnier, ne comprend absolument pas en quoi son geste est problématique, invoquant des "signaux" pour expliquer sa réaction. Des propos encore trop présents dans de sombres histoires, si cet aspect peut créer de l'empathie chez certains forceurs hétéro c'est déjà un très bon point.

Le rejet de l'homosexualité, même si ce thème est amené par le biais d'un genre de délire complet, et franchement maladroit, sur le syndrome de Stockholm.

Bref, on sent une volonté de parler de sujets sensibles, le premier est plutôt bien traité, mais le second très très lourdaud, et à rebrousse poil du premier. Une histoire de grossesse vient encore foutre un peu plus le bordel, mais sans vraiment servir de propos à mes yeux.

L'avis de Gally : Sieste sur le canapé, mais la tête dirigée à l'opposée de l'écran.
Traduction : " Rien de tout cela n'a l'air très sûr de ce qu'il raconte, ça dénonce, puis ça justifie, on ne sait pas trop au final ! Mais ils feraient mieux de se demander clairement avant toute chose, non ?"

Critique extraite de la liste Annecy 2020, avec mon chat, avis croisés.