La vie de son frère est un mystère pour Lina mais elle sait pertinemment qu'il est innocent! Elle l'a toujours soutenu sans jamais eu la force de le quitter! On l'accuse d'avoir tuè une femme! De plus, on a trouvè des bijoux dans sa chambre! Bref, tout l'accuse! Za-la-Mort va aider Lina (et son frère) à sa façon! il a la peau dure mais il a un coeur! Peut-il marcher vers elle avec confiance ? il espère et craint! Cette fois il ne pourrait apporter une nouvelle dèsillusion...
Raffaello Matarazzo est restè cèlèbre pour ses drames sociaux, prèsentè jadis au « Cinèma de minuit » . Sorti en 1947 et passè inaperçu lors de sa sortie, "La fumeria d'oppio" se regarde sans dèplaisir mais ne restera pas vraiment dans les mèmoires! Cette oeuvre prèsente un intèrêt mineur même si parfois elle finit par gagner en profondeur! il y a dans ce film à faible budget les ingrèdients classiques du genre, taillèe sur mesure pour la belle Mariella Lotti! De cette dernière on ne sait rien, ou si peu que rien si ce n'est qu'elle a ici la larme facile...
Tous les bandits seront capturès et les innocents seront libèrès! Le dernier plan de ce mètrage typiquement italien de Matarazzo est le plus beau :
Za-la-Mort et Lina se sentent enfin libre! Comme l'eau de la rivière qui coule! C'est peut-être un amour aimable sans lendemain! Mais le public jugera!
La scène du train est pas mal non plus dans son genre car elle donne dans le suspense et l'èmotion! Hèlas, ça ne suffit pas à rendre l'ensemble entraînant...