L’ascète samouraï
L’inimitable grâce avec laquelle Ghost Dog se déplace dans la ville résume à elle seule la place de Jarmusch dans le cinéma indépendant américain : présent, mais intouchable, presque inaperçu des...
le 12 févr. 2016
135 j'aime
8
Excellent film, atypique, que j'adore. Un tueur à gage noir obéissant au code d'honneur du samouraï, qui vit avec ses pigeons lui servant d'unique moyen de communication avec ses commanditaires... Mélange de tradition nippone ancestrale et de culture urbaine hip-hop, de philosophie et d'extrême violence, d'humour aussi. Une œuvre improbable avec un Forest Whitaker remarquable, sobre et efficace.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 23 juin 2020
Critique lue 160 fois
4 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur Ghost Dog - La Voie du samouraï
L’inimitable grâce avec laquelle Ghost Dog se déplace dans la ville résume à elle seule la place de Jarmusch dans le cinéma indépendant américain : présent, mais intouchable, presque inaperçu des...
le 12 févr. 2016
135 j'aime
8
La balade funèbre de Jim Jarmusch, télescope les codes des films de Samouraïs et ceux du Polar US. On y croise un samouraï érudit ( Forest Whitaker, grand et souple, froid et tendre, tout son être,...
Par
le 19 févr. 2013
76 j'aime
8
Ghost Dog est le récit d’un vagabond des temps modernes se soumettant à un code d’honneur ancestral samourai. Influencé par le Samourai de Jean Pierre Melville, c’est l’œuvre hybride d’un réalisateur...
Par
le 19 janv. 2015
63 j'aime
4
Du même critique
Excellent film, atypique, que j'adore. Un tueur à gage noir obéissant au code d'honneur du samouraï, qui vit avec ses pigeons lui servant d'unique moyen de communication avec ses commanditaires... ...
Par
le 23 juin 2020
4 j'aime
2
N'étant à la base pas fan des Experts, je me suis dis que la "Tarantino touch" pourrait les faire remonter dans mon estime. Force est de constater que le gars n'a rien apporté de transcendant et on...
Par
le 17 déc. 2015
3 j'aime
Avec une intrigue sans queue ni tête, une réalisation plutôt pauvre et un Charles Berling au sommet de sa nullité, je dois dire que j'ai rarement vu un film qui portait aussi bien son titre
Par
le 13 août 2019
1 j'aime