L’emprise.
Un scénario filmé avec une platitude désarmante. Un ensemble d’interprètes qui à l’image d’Arletty (que je ne supporte pas, au point de la mettre aux côtés de Daniel Auteuil en haut de ma blacklist)...
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le 21 avr. 2020
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Étonnant que ce film au titre trompeur, Gibier de potence. On raconte dedans le parcours chaotique d'un jeune homme sorti de l'assistance et qui se lance dans la vie active sans aides, les petits boulots minables, la vie dans la rue et enfin la prostitution et oui c'est de cela qu'il s'agit. Le film même si il n'est pas foncièrement original ou brillamment dialogué, aborde un vrai problème de ce temps-là, celui des orphelins qui sont laissés à eux-mêmes devenant criminels, sans-abris, etc ainsi que des sujets niés au cinéma et traité en sous-entendus. La production ne néglige pas le casting outre le jeune premier Georges Marchal, on a droit à Arletty et quelques autres visages connus de cinéma français des années 50.
Créée
le 14 mai 2020
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