La consécration de la connerie...
Autant le premier n'était pas franchement bon, mais pas nécessairement archi-mauvais pour la cause (l'excellente BO le sauvait du naufrage), autant celui-ci est une véritable bouse abjecte (quoique je ne connaisse pas de bouse exquise).On a véritablement l'impression de suivre un feuilleton à l'eau de rose à la con mexicain, tant ce film est creux.Les états d’âmes de nos néo-pseudo-starlettes servent de prétexte à un scénario totalement inexistant, et que dire de tout ce placement de produit détestable au possible...La tête à claque du film est assurément, le petit chieur morveux qui sert de frangin à Santi.La scène ou il pique la Lambo du frangin pour partir en vadrouille est d'ailleurs un des pires moments de l'histoire du cinéma que j'ai vécu.