Une fois de plus, il aura fallu quelques plans, pas plus, pour montrer que GVS est un con fini.
Deux trois scènes d'une lourdeur rare, au milieu d'une réalisation très aérienne. On s'en étonnera pas. Il aura fallu un plan dans Elephant pour faire passer son film du chef d'oeuvre contemplatif au propos réac.
Ici, ce sera simple, un type, Harvey Milk, merveilleusement interprété (ah films à rôle pourtant si souvent décrié, les Capote, Monster, les rôles à Oscar quoi) se bat contres les homophobes de tous poils et les bigots prêt à faire des raccourcis honteux pour créditer leurs thèse : Homosexuel = pédophile.
Heureusement, GVS est là pour faire de Harvey Milk une icône, qui mérite sa place au côté de Martin Luther King. Trouvons lui une place de cette envergure et vite. Imprimons des T-shirts.
Et pour celà il faudra que Harvey Milk soit assassiné par un conservateur tendance homophobe.
Mais évidemment pour GVS homophobe = homo refoulé.
Ah bon? Pathétique!