The last son, la malédiction (2011)
N est ce pas difficile de naître avec un pouvoir qui n'as rien d'un don.
Tuer les gens sans le faire exprès cela peut entraîner des complications.
Rencontrer quelqu'un qui y résiste peut peut-être abaissez la tension.
Je ne souhaite à personne d'hériter des capacités de The last son, la malédiction.
Bonjour à tous amis de l'angoisse, aujourd'hui attaquons nous à The last son, la malédiction de Agnès Merlet à qui nous devons Dorothy, Le fils du requin ou Artemisia. Alors qu'il est tout jeune James Furlong hérite d'une malédiction qui lui donne un pouvoir horrible, celui de tuer toutes personnes autour de lui si il est contrarié, mais un beau jour il rencontre May, et cette dernière ne semble pas être touchée, pourquoi donc. Bon, si le film est plus un drame fantastique que de l'horreur j'ai tenue à le classer dedans au vue des très nombreuses morts visuels qu'il recèle, l'histoire est vraiment très belle et offre un paradoxe entre la vie et la mort avec ce jeune homme qui sème la mort autour de lui mais aussi la vie selon ses émotions, le film possède de très beaux plans notamment grâce à ses scènes naturels ou l'on peut voir la végétation et la faune mourir et revivre de façon poétique comme si l'on passé les différentes saisons, les effets spéciaux sont de bonnes très qualités que se soit pour les effets de vie et de morts végétales mais aussi pour les morts humaines visuellement violentes notamment dans l'orphelinat, le rythme et prenant et les émotions de tristesse et d'amour prédominent durant tout le métrage, le final est à l'image du film entre vie et mort, entre perte et renaissance, la musique est également bonne et se fond durant les scènes pour accentuer le sentiment mis en avant. Au niveaux des acteurs j'ai trouvé la complicité entre Tachel Hurd-Wood et Harry Treadaway magique, Thomas Brodie-Sangster était également convaincant dans son rôle entre victime et méchant. Bref, une très jolie découverte que je conseille à tous de regarder, une ode à la vie et à la mort, allez tchuss crevez tous Mouhaha 😈😈😈.
Dans la famille Furlong, l'aîné de chaque génération est doté d'un pouvoir extraordinaire, pour le meilleur ou pour le pire.