On prend rarement partie pour Human Capital. Dans un esprit grossier contre la pleine finance et les investissements boursiers et de délicatesse des jeunes avec leur famille, le film revendique l'aspect dramatique d'un film dont les personnages manquent de tout dont notamment d'émotions. Peu attachants, chaque personnage à commencer par Liev Schreiber qui n'aura jamais une carrière grandiose semble s'ennuyer paisiblement dans Human Capital. La réalisation est aussi bien chaotique et l'adaptation du roman du même nom se manque complètement pour asseoir les maître-mots que sont l'amour (les deux adolescents qui vont rassembler le portrait de leurs familles) et le pouvoir inconditionnel de l'argent pour faire "couler" une famille et fait enrichir une autre. Ah, l'argent...