Lundi 10 novembre, au Grand Rex, était organisé l’avant-première d’Hunger games : La révolte partie 1. D’après ce que nous disait le présentateur, nous étions les seuls au monde à avoir se privilège avec l’avant-première à Londres le même soir.
2800 fans étaient présents pour cet événement. La queue remontait presque toute la rue lorsque je suis arrivée à 18h. Lentement mais sûrement nous sommes entrées dans la salle avons pris place au niveau mezzanine. Nous avons dû laisser nos portables à la consigne et endurer la chaleur pendant toute la soirée.
Sur l’écran était projeté la retransmission de l’avant-première à Londres. Elle était aussi diffusée sur le net, mais nous avons en bonus un interprète en direct pour nous traduire les propos des différents invités. Il y a aussi eu un petit jeu pour gagner des lots surprises.
A 20h15 le film pouvait commencer sous les applaudissements et les hourras du publique très enthousiaste.
J’ai lu le livre il y a presque trois ans déjà, mais j’ai retrouvé la trame de l’histoire dans cette première partie. Evidemment certaines choses sont zappées, d’autres modifiées, mais l’essentiel est là. Le cœur de l’histoire est préservé le souffle épique aussi, peut-être moins l’introspection de Katniss. On assiste au début du combat avec la mise en place de la propagande et des combats entre le Capitole et les rebelles de la section 13.
Si l’action n’est pas à l’ordre du jour, on plonge dans l’horreur de la guerre. Katniss est le jais moqueur et des centaines de personnes meurent pour sa cause.
Le réalisateur a pu prendre son temps pour développer l’histoire du 3e tome, c’est très agréable et le rebondissement final fera sans aucun doute son effet pour ceux qui n’ont pas lu les livres.
Les acteurs campent toujours avec brio leurs personnages. Jennifer Lawrence passe d’une émotion à l’autre tout en restant crédible. Et que dire de Donald Sutherland en ignoble Président Snow.
J’ai particulièrement aimé la musique de James Newton Howard sur ce 3e opus. La chanson que chante Katniss, reprise par la foule, est très entêtante et je l’ai gardé dans la tête un bon moment après être sorti du cinéma.
Voilà, je ne suis en aucun cas déçu, j’attends avec impatience le 4e et dernier volet de cette saga. Hunger games a su insuffler tant à la littérature young adult et au cinéma un souffle nouveau comme l’avait fait Harry Potter et la littérature jeunesse à son époque.
Hunger games : La révolte partie 1 est une dystopie a ne pas manquer avant sa conclusion finale en 2015 !