En vingt minutes, on sombre dans les tréfonds de la caricature la plus grossière qui puisse exister.
La grosse méchante qui vole ouvertement un livre dans une librairie en se la pétant, même les séries ado des années 90 n’osaient pas ça.
La meuf qui porte plainte parce qu’on lui a vendu puis rendu un livre et qu’on l’a embrassée, Bon…
Ah, elle sait pas que la flic est en lien avec la voleuse ??
Ah, du coup, tout le monde se décide à tabasser la pauvre plaignante parce que… Ben on sait pas trop, vas-y, ça ou autre chose…
Ah, pour gérer le truc, la fliquette se dit tiens, donnons-la à bouffer au loup pour s’en débarrasser, personne ne se posera de questions si on la voit pas demain…
Arg.
En plus, c’est joué platement, les coups, une morsure de loup, tout se passe hors champ parce que sinon c’est compliqué…
Je n’ai continué que pour le plaisir de pester contre cette nullité qui ne voulait même pas être drôle mais qui mériterait un Razzie Arward de la décennie !