L'actualité sur Ici je vais pas mourir
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2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
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2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
Le 20 oct. 2022
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2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
Le 9 oct. 2022
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2021 • Documentaire de Cécile Dumas et Edie Laconi
Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.
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Synopsis : Ici, c’est la « salle de consommation à moindre risque », la salle de shoot, qui a ouvert en octobre 2016 dans un bâtiment de l’hôpital Lariboisière, à Paris. C’est un lieu dont le film ne sort pas, sinon quelques secondes sur un bout de trottoir, aux portes du générique. Un plan ou deux suffisent à désigner l’extérieur, pour rappeler l’hostilité d’une partie des riverains – un panneau « Non à la salle de shoot », entr’aperçu, ficelé à une fenêtre. Et c’est à ces riverains qu’il faudrait montrer Ici je vais pas mourir en premier lieu, les guérir de leur peur par la fraternité doucement dessinée par le film, leur donner surtout à entendre cet usager aux yeux embués par la fatigue et qui explique, simplement: « Nous-mêmes on fait du mal à nous, on va pas faire du mal à quelqu’un ». Le minuscule port d’attache de la salle de shoot devient ainsi pour le spectateur une précieuse salle d’écoute, pour comprendre que ce pays lointain où se sont perdus Bilal, Janusz ou Hervé, ne lui a en vérité pas grand-chose d’étranger.