Qu'est ce qui est passé dans la tête d'Harrison Ford en acceptant une dernière ( a espérer...) fois de revêtir le chapeau et le fouet du personnage qui a contribué a confirmer son statut de star de cinéma dans les années 80, après le succès inattendu de la non moins célèbre saga du comparse Georges Lucas. Sans doute la nostalgie ( et sûrement un peu d'argent, mais chut) Mais la nostalgie c'est bien, quand c'est bien mené.Et la, mis a part Cate Blanchet qui tire a peu près son épingle du jeu en bad girl soviétique, et réussi a s'échapper du bateau qui coule tant bien que mal. Parce que courir devant des fonds vert, ce n'est plus de l'âge du Docteur Jones, ni de son interprète. Et ce n'est pas Shia LaBeouf, habitué aux fonds vert de Transformers, qui réussi a relever le niveau de cet ultime opus d'une saga qui nous avait pourtant habitué a plus de charisme ( Sean Connery, ou êtes vous?) dans ses précédents films. Plus de charisme, plus de scénario, plus d'intrigue, plus d'aventure. Car encore une fois, les fonds vert c'est cool, mais quand c'est bien utilisé. Stallone et sa bande d'action men papys ont réussi à ne pas se prendre au sérieux,c'est qui a fait le succès d'Expendables, et l'échec d'Indiana Jones est justement de se prendre au sérieux, et au passage prendre les spectateurs pour des c..Pourtant dans les mains de son créateur, le film avait tout pour séduire.Allez, maître Spielberg, vous avez un raté un film. On attends le prochain chef d'oeuvre.