Vil requin
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Oublié d'aller le voir au ciné la s'maine dernière, fallait que je rattrape ça, et c'est en rattrapant ça que j'ai enfin compris, même si j'ai toujours du mal à passer le cape qu'un film peut être vraiment pas terrible et pourtant divertissant. Si je pourrais donc lâcher un 6/10 comme je le fais souvent, c'est finalement ce pauv' 4 qui l'emporte.
Je précise donc quand même que j'ai passé un moment pas dégueux, le film perd pas son temps et commence direct dans le bain de la mer, on passe pas 40 minutes chez la gonz qui fait ses valoches pour partir à la mer, on perd pas 10 minutes sur quelle culotte je prend, le rose ou celle avec les motifs de poires....
Ensuite Jaume Collet-Serra (nom interdit dans de nombreux pays j'imagine) nous régal de quelques plans très très jolis, notamment vu du ciel, tout comme il arrive à nous glisser de la belle de 72 avec ces CGI violent du sud est ! Blake Lively a sucré le budget ou comment pourquoi ? Fin bref, visuellement ça peut envoyer comme reprendre... cela dit le requin est très classe.
Nous voilà donc plongé dans une énième histoire de shark, Spielberg en est la cause première, ici le concept n'est pas nouveau, une gonz coincée dans un endroit seule (enfin non y'a la mouette, Jonathan le Goéland putain !) avec un squale qui lui tourne autour du string. La tension est plutôt au rendez vous, ainsi que certains moments efficaces.
Ce qui m'a le plus endommagé en plus d'une VF qui pique même le palais c'pour dire, c'est ce style de faire causer la woman toute seule, pour bien tout expliquer au gamin qui look le bazar, rien que le fait de ne jamais la faire causer quand elle est seule ça aurait pu instaurer une autre ambiance.
M'enfin bon c'est sans doute la gosse à Rambo de toute façon, une boucle d'oreille, un collier, op c'est r'parti comme en 40...
Dommage donc, car même si le moment fut plaisant, le scénario est parti chez sa sœur au même moment, rien qu'à voir cette fin, c'quoi cette fin à la ricaine ? Il est où le Requiem for a Dream ? Qu'on lui vire une patte putain !
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le 6 oct. 2016
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