"Il est question d’adaptation, d’amour, de survie, à l’échelle d’individu et d’espèce. La Science pure et dure entre donc en contact avec des forces encore inexpliquées, peut être inexplicables, a priori inquantifiables. [...] L’émotion, bien plus qu’auparavant chez Nolan, est au rendez-vous, dosée avec justesse, tout comme l’évolution de l’intrigue qui parvient sans cesse à se renouveler de manière efficace et surprenante, ne laissant aucun temps mort durant ces 2h49. [...] Pour ses premiers pas dans la SF, [Nolan] parvient à se démarquer avec une facilité déconcertante, en faisant remarquer, comme Tsiolkovski avant lui, que la Terre n’est qu’un berceau, et que l’on ne passe pas toute sa vie dans un berceau."