Illusion of time
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Et bien, en allumant mon PC avant d’aller me coucher, je m’attendais pas à prendre une tel claque, ou même fessé pourrais-je dire par rapport au film... Pour faire court, je suis passé par 103739 émotions différentes, et j’en ai encore les oreilles qui tremblent... Je suis content que le film se termine comme ça, c’est un peu comme un fondant au chocolat après une purée de morue, ça compense.. Un fondant au chocolat d’une douceur extravagante, à presque en oublie la morue. Le duo Cassel/Monica est incroyable, j’ai appris beaucoup de chose d’ailleurs, qui me seront importantes, et qui me donnent des réponses d’ailleurs!! Mais avant le dessert il y avait le plat, un plat en deux parties, une première partie où la fourchette entre en bouche, un mélange d’enfer sadomaso avec du sang des ténèbres.. et puis une deuxième partie où on mange le plat, le plat qui nous frappe le palais d’une violence inouïe, une bouchée qui paraît interminable, immangeable, inacceptable... C’est donc avec un avis mitigé, sans doute car je n’ai pas de recul, ni de grande connaissance dans ce domaine, que je sors de ce film. D’abord le fait que cette violence m’était inconnue avant, et d’une puissance auquel je m’y attendais pas, mais d’une autre partie, je suis stupéfiait par le pouvoir du film à faire ressentir tant d’émotions en si peu de plats, d’amour, de coups et de temps
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le 28 janv. 2021
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