Le film fait inévitablement pensé au chef d’œuvre de Jonathan Vinel et Caroline Poggi, avec lequel J'attends Jupiter partage tant de points communs : des ados paumés au milieu des banlieues pavillonnaires françaises ; des piscines vides ; des lumières bleu néon ; et un contraste entre musique moderne et chants anciens (Haendel).
Le portrait d'une jeunesse perdue, aux illusions dorées, en quête d'un monde vu à la télé, à la recherche du regard de l'autre au travers de leurs publications sur les réseaux sociaux. Liane, touchante dans sa détermination, est avant tout un être brisé en quête d'elle-même.