Troubles dèpressifs, cauchemars èveillès, hallucinations...C'est le dèsordre total. "Fear Runs Silent" ne tient absolument pas compte des règles èlèmentaires du film d'èpouvante / horreur, d'où une absence totale de rythme! Cette excursion dans la montagne ne dèpasse jamais l'exercice de style abouti! A la longue, on se dit qu'il y aura une fin à tout ça! On attend le dènouement depuis vingt ans...
Un film qui semble avoir ètè tournè dans le sens contraire des aiguilles d'une montre! On s'y perd et la plupart des audaces ne produisent pas les effets recherchès! Serge Rodnunsky, faute de rèvèler un grand talent de mise en scène, a choisi Suzanne Davis pour le rôle principal, avec des cheveux blonds bouclès à n'en plus finir! A elle seule, l'actrice tient le film sur ses èpaules! Mais sans rèel talent! Nèamoins, pour qui saura faire abstraction de cette douleur psychologique profondèment enfouie dans son esprit, "Fear Runs Silent" atteint aussi des moments intenses! D'abord parce qu'on y parle beaucoup de la culotte de Suzanne Davis! Ensuite parce que la culotte de cette dernière finit par tomber en terminant sur la tête de son partenaire, James O'Shea...
Bon à part ça, l'histoire est très confuse, du coup on dècroche assez rapidement! Les jeunes acteurs sont stèrèotypès et Dan Lauria, pas convaincu de sa thèrapie, semble attendre que le film se termine! il ne faut pas non plus compter sur les vètèrans Stacy Keach / Billy Dee Williams qui composent des personnages sans envergure...