C'est Christelle, qu'est-ce qu'elle est belle.
Ce film d'une grande profondeur (parce qu'en noir & blanc) m'a permis tout d'abord de découvrir Arthur Jugnot, qui ressemble à s'y méprendre à Anthony Dupray de Premiers Baisers.
ET SI C'ETAIT LUI ? Tout s'expliquerait. Il aurait pas essayé de s'acheter une crédibilité en piquant un Vrai Nom Du Grand Cinéma Français, par hasard ?
Non parce que c'est le court métrage le plus long que j'ai jamais vu (même s'il ne fait que 6 minutes 29 physiquement, c'est le genre de 6 minutes 29 qu'on prend pour 6 heures 29, tellement Anthony Jugnot Dupray et l'enfant jouent mal de concert. Je pardonne les enfants, pauvres petits êtres naïfs bientôt broyés par la vie, mais putain, pas les stars des années 90).
Tout ça sans même évoquer le pire : le titre, qui promet monts & merveilles de découvertes des mondes parallèles liés aux sexualités minoritaires.
Alors qu'en fait, c'est juste pour dire : "un gros hétéro de BASE".
Et citer Apollinaire pour ça, sérieusement, ça me fait de la peine pour lui (Apo, pas Christophe Anthony Dupray Jugnot).