Ammorale.
Voilà la plus simple des définitions que l'on pourrait faire de ce film.
L'ammoralité en soit n'es pas criminel (dans un film). Mais lorsque l'on ose faire un film pour le grand public, on se doit de réfléchir deux secondes avant de lancer un film si... Imbuvable.
Ce film n'apporte rien au spectateur que dégout; aigreur; et ennuie. L'intérêt serait présent si il serait Immorale justement. Il créerai en nous un sentiment; une quelconque passion qui nous animerait.
Mais ce film ce complait dans sa fadeur abrutissante.
Une jeune fille qui est nymphomane (au sens de la maladie)? Même pas...
Une fille jeune qui se fait humiliée contre son grée? Toujours pas.
Une jolie fille... Non plus.
Nous assistons juste à un reportage qui est à la limite d'encourager la prostitution chez les mineurs. "Pourquoi travailler quand tu peux te servir de ton boule pour 300 euros de l'heure et la seule chose que tu aura c'est quelques "taches" sur tes vêtements? Et tu sera, en plus, toute excusée par la justice car tu est mineur!! Chouette hein!? #Lol#XPTDR#CatinEtFièreDeLEtre!"
Là viens alors la phase "vieut kon! tu voit pa ke dent le film elle en soufre! El vas ce douchait chaques foie aprét c saience!". Argument compréhensif! Mais annulé par une suite des plus pitoyables: elle ne souffre pas; elle n'est pas en manque. On appelle ça, tout simplement, une crise d'adolescence poussée à l'extrême.
Je ne veux pas spoiler ce "chef d'ouvres" donc je demanderais juste à ce qui l'ont vu de ce rappeler de son comportement avec sa mère, son beau-père et surtout son petit frère. Pour qu'ils comprennent, un peu, mon opinion.
En conclusion, Un film de "bobos" (no disrespect but that's what it is!) qui excuse encore une fois les classes supérieurs (les riches quoi...) en trouvant toujours de nouveaux problèmes de plus en plus absurdes dont le monde se fout mais auquel ils apportent trop d'importance.