Joli merdier
Serbie/Bosnie round 2, après No Man's Land on ne change pas une équipe qui fait match nul et on reprend les mêmes ingrédients: traitement du sujet par la petite histoire, très peu de combats, et...
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le 23 nov. 2018
Serbie/Bosnie round 2, après No Man's Land on ne change pas une équipe qui fait match nul et on reprend les mêmes ingrédients: traitement du sujet par la petite histoire, très peu de combats, et dénonciation de l'absurdité de la guerre en suivant les deux meilleurs amis du monde qui n'ont pas eu la chance d'être dans le même camp lors de la répartition des équipes.
On est par contre beaucoup moins dans la gloriole (ni dans le glory hole d'ailleurs), mais les personnages sont plus profonds et la mise en scène beaucoup plus maîtrisée.
Dragojevic sait nous secouer quand il faut et maintient un rythme soutenu, composé de flashback qui ne sont jamais innocents ou gadgets. Il nous laisse peu d'espoir, ce qui est palpable même avant le début du conflit. Personne n'espère en sortir indemne et c'est exactement ce qu'il va se passer.
Comme le résume bien l'infirmière en guise d'épitaphe, "What a bloody hell..." (j'ai pas retenu la VO hein). Bienvenue au pays des hommes ma petite dame.
Créée
le 23 nov. 2018
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