Julia de Fred Zinnemann est un film sans aspérité et parfaitement formaté pour une distribution internationale. L’usage de filtres permet de faire scintiller les images de certaines séquences, ce qui rend le rendu visuel « joli ». Les dialogues, insuffisamment écrits, restent superficiels malgré la période dépeinte et véhiculent de nombreux clichés. Le vocabulaire utilisé est choisi avec soin pour sa simplicité alors qu’il est question d’un personnage écrivain (Lillian Hellman). Il n’expose nullement le film à la moindre ambiguïté. Lire la critique complète.