Sharka Ponk

Je n'aurais pas cru dire ça, mais je me suis presque amusé devant cette dernière production de Brett Kelly vu au Paris Shark Week. Presque, parce que cette histoire de requin mutant géant fan de rock est toujours fauchée et mal branlée (la bestiole est un type dans un costume en latex hideux incrusté dans des immeubles en CGI), et parsemée de scènes de remplissage et d'images libres de droit de l'espace. Mais c'est outrancier, ça ne se prend pas au sérieux, les vannes sont parfois drôles, et plus rythmée qu'à l'accoutumée. Et ça permet surtout à Brett de caser toute sa famille et un concert de son garage band personnel Gelatin Skelatin.