J'ai été plutôt ravi de reconnaître le style et le thème fétiche fusionné, de Deniz Gamze Ergüven : le projecteur principalement centré sur des adolescents .Déjà la couverture de son tout premier film, Mustang dégage la même énergie: l amour fait la force. Dans Kings ,elle remet encore en scène une adolescence déchirante ,dans un monde avec des valeurs qui rende la vie des ados oppressante.
Au début je pensais que ça se déroulait dans le Bronx, étonnamment ça se passe à Los Angeles en 1992 .L histoire est inspiré d'un fait vécu. On devient le spectateur de l'injustice, de la dégradation de la pauvreté, de la violence et du raciste .J ai sentie une vague de folie dans l'air quand la corruption est arrivé à son paroxysme. J ai bien aimé le chaos qui s'en dégageait. De l anarchie ressort des scènes bien pensées qui peuvent faire rire malgré cette pauvreté ambiante.
En gros c'est une mère qui incarne une Mère Theresa des enfants laissé pour compte ,dans un Los Angèle corrompue .On y retrouve aussi un ados qui est en pleine puberté essayant d'opter pour le bien dans un monde de misère où la violence est très présente .La violence est le résultat de la survie. Tranquillement en arrière plan se prépare une émeute ,on sent monter la tension.
Il y a de bons acteurs comme Halle Berry et Daniel Craig mais honnêtement j'ai préfèré le jeu des adolescents ils sont géniaux.Aussi les plans de la camera son intéressant a suivre si tu aime te faire amener dans la même confusion que les gens de Los Angele en 1992 on pu ressentir .
Bon visionnage!