…. et les marges de liberté se réduisent.
La peur dans une démocrature réduit la faculté d’exercer un esprit critique. Les institutions sont touchées, mais aussi les individus dans leur subjectivité et leurs sentiments. La crainte de ne pas être conforme à la norme imposée favorise les dérives qui conduisent l’impuissance, la jalousie ou la frustration à reporter des responsabilités sur ceux qui semblent chercher d’autres voies. La liberté, la justice et la vérité sont-elles à ce point impossibles que le seul espoir est de fuir loin de cette société bloquée ?