J'en finis là avec ma rétro intégrale Yannick Bellon, il s'agit de son dernier long-métrage, passé, de mémoire, relativement inaperçu de mémoire, et sans doute son film le moins personnel, même s'il y a comme d'habitude une thématique engagée. Ici un instituteur également ornithologue est en lutte contre la bande de chasseurs de son village qui décime la faune locale sans vergogne. Se greffe une histoire d'amour avec une femme du camp adverse, et un rapport aux enfants très présents, mais les gosses ne jouent pas très bien. Le souci du film c'est qu'il veut prendre la défense de la cause animale, mais qu'il montre plein d'animaux en souffrance, donc l'effet recherché se dégonfle comme un soufflé. Le film n'a pas grand intérêt.