Ce film s'inscrit dans le sous-genre (celui des "femmes en prison") d'un sous-genre (sexploitation), mais il a cela d'intéressant qu'il relançait la mode (des dizaines de productions à travers le monde, surtout au Japon) vaguement et sagement exploitée par les américains entre les année 30 et 50 en y introduisant des nouveaux codes. Un bagne sordide, un directeur et des gardiens sadiques et forcément un érotisme controversé avec amour lesbien et abus sexuels sont au menu. L'image est propre, la direction artistique sérieuse tout comme l'interprétation ça manque un peu de "saletés", comme une auto-censure mais Jess Franco fait une bonne mise en scène.