Le réalisateur entend "rendre hommage aux femmes de [s]a vie" mais le résultat est : 1-ennuyeux 2-misogyne 3-vulgaire. La sexualité de l'héroïne du film est réduite à : 1-frustration 2-orgasme. Le parallèle entre la saillie de la jument et la pénétration d'Angèle est malheureux. Le film est lent, la leçon réduite à : "pour jouir, prends ton mal en patience". Les plans à cheval sont magnifiques mais que retenir au final de L'odeur la mandarine ? Rien. Je rejoins une précédente critique : ce film est vain. Je ne parviens toujours pas à comprendre l'engouement qu'il suscite.