Petit bout par petit bout.
Des cendres de vies qui forment les mondes entiers à venir d'une adorée illusion.
Tes précepteurs retirent les morceaux pour en faire des sols.
Te voila déjà solitaire.
Puis d'un regard circonspect tu circonscris le monde.
Déjà il n'y a plus que ton regard accroché.
Tout n'est question que de perceptions.
Tu fonces vers la lumière.
Tout le reste glisse déjà.
La réalité te parait être faite de peintures.
Aquarelle.
Comme si tout n'était fait que du même liquide changeant de composantes en fonction de ton humeur s'approchant.
Ainsi le bonheur.