Un court métrage intéressant dans le sens où il expérimente une sorte de cinéma vérité où il n'y a aucun artifices dans la représentation du quartier et de la vie de ses occupants et plutôt expérimental et abstraite lors qu'on en sort. Ces allées et venues confère à ce court récit une sensation étrange mais non désagréable, déjà car c'est bien filmé, qu'on a la chance de voir une femme totalement à poil en 1958 et très jolie d'ailleurs, et des gueules comme on en fait plus.
Hâte de découvrir d'autres métrages de cette réalisatrice de la Nouvelle vague mondialement connue.